l'association

Marie Jo Bourdin exerce au Centre Médico Psycho-Sociologique Françoise Minkowska depuis 1981. Elle est adjointe à la direction, responsable du Pôle Formation et du MEDIACOR (unité de médiation d’Accueil et d’Orientation). Elle enseigne à l’université Paris Descartes dans le cadre du DU co-organisé avec le centre Minkowska » Santé,maladie, soins médiations et cultures ». Elle est présidente METS, Mouvement Européen des Travailleurs Sociaux. De formation Assistante Sociale elle est maître en sciences sociales. Elle assure un soutien socio thérapeutique des femmes victimes de mariage forcé et de mutilations génitales féminines.

Elle est la coordinatrice nationale de la Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite d es êtres humains (MIPROF).
Co-présidente de la Commission : Violences de genre, elle est à l’origine des nouvelles lois pour la protection des femmes en grand danger. Elle est également responsable de l’Observatoire départemental des violences envers les femmes de Seine Saint-Denis qu’elle a créé en 2002. Membre du Haut Conseil pour l’Egalité entre les femmes et les hommes depuis 2013, Officière de l’Ordre national du mérite et de la Légion d’honneur,elle fut notamment institutrice, directrice d’école, puis psychologue scolaire.

Elle est psychiatre et psycho-traumatologue. Elles a fondé en 2009 l’association « Mémoire traumatique et victimologie. Elles a fondé en 2009 l’association « Mémoire traumatique et victimologie », pour l’information et la formation sur les traumatismes psychiques liés aux violences sexuelles. Elle intervient auprès des plus haute instances de l’État, Assemblée Nationale, Sénat, haut Conseil à l’Egalité, pour sensibiliser les élus.es à la cause des victimes de violences sexuelles et victimes des violences liés au terrorisme.

Auteure, conférencière, chercheuse en sociologie, elle est maître de conférence à l’Université Rennes 2. Spécialisée sur les questions de santé mentale et de handicap, elle dirige des recherches internationales sur les dispositifs innovants d’accompagnement par les pairs. Elle participe à un groupe d’experts sur les usages de l’habitat.Engagée dans la formation de travailleurs sociaux, elle soutient les femmes en parcours de formation professionnalisante dans le cadre de reprise d’études.

Elle est l’auteure du livre « une poule sur un mur » qui raconte l’enfer qu’elle a vécu à 22 ans, alors qu’elle était étudiante en droit et qu’elle tombait sous l’emprise d’un pervers.
Cette expérience l’a profondément marquée et depuis elle en témoigne dans ses conférences. Elle est juriste et mère de deux enfants. Son engagement dans la lutte contre les violences envers les femmes l’amène à intervenir autant dans le cadre de la prévention des violences à l’adresse de la jeunesse que dans dans son soutien aux associations qui s’engagent au plus près des femmes victimes de violences sexuelle.

Professeur d’histoire et géographie, elle est tête de liste du Front de Gauche « L’humain d’abord pour la gauche républicaine et et sociale ». Sénatrice du département de la Loire, depuis 2011. Conseillère régionale en Rhône Alpes en 2004, elle est réélue en 2010. Conseillère spécialisée à l’égalité hommes-femmes auprès du président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Membre de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d’administration générale.

Auteur, conférencier et organisateur de colloques et congrès internationaux (45 pays), par exemple: « Devoirs et limites de la psychiatrie face à la déqualification sociale », « Les effets
psychosociaux de la mondialisation » , « Pour une écologie du lien social » ; Fondateur et directeur scientifique honoraire de l’Observatoire National des Pratiques en Santé Mentale et Précarité en 1996 (ORSPERE-SAMDARRA). Décrivant le syndrome d’auto-exclusion, il aide de nombreuses équipes,en France et à l’étranger, à comprendre et à orienter leur clinique avec une approche psycho-sociale. Il est le fondateur de la revue nationale « Rhizome, Santé mentale et Précarité » , publiée sous l’égide du Ministère de la santé et des affaires sociales. Dans le cadre d’une collaboration entre l’Université Lyon 2, l’Université Catholique de Lyon et l’Orspere- Samdarra, il co-dirige avec François Laplantine un séminaire de recherche universitaire sur « La pensée métisse dansla mondialisation ».

Secrétaire général de « La boucle » , un organisme de formation qui accompagne le changement dans l’entreprise vers l’égalité femmes -hommes. Auteur et conférencier, il déconstruit les clichés sur les genres et promeut une égalité effective entre les femmes et les hommes. Promoteur des clubs « FACE » qui propose des argumentaires et accompagnements aux entreprises, salariés et syndicats, pour instaurer l’égalité femmes -hommes dans la vie professionnelle. Co-fondateur du Diplôme inter-université (Pierre et Marie Curie et Sorbonne Nouvelle) pour la formation de conseiller(e) référent(e) en égalité Femmes-hommes. Expert représentant le monde associatif au comité national de concertation pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.

Députée européenne, socialiste, citoyenne engagée, européenne convaincue, militante des valeurs progressiste et humaniste. Élue en 1998, conseillère régionale en Rhône Alpes, impliquée dans le domaine e la santé et de la solidarité, Entre 1993 et 2003, conseillère du maire de Lyon, à la prévention santé et aux handicaps avant de prendre également en charge les affaires sociales.Au parlement européen depuis 2009, dans la commission parlementaire LIBE, commission des libertés civiles de la justice et des affaires intérieures. Ces sujets d’expertises sont : l’immigration, les droites de l’homme et la protection des données personnelles. Depuis 2014, elle est vice présidente du parlement, en charge des questions d’information-communication et du registre du transparence.

Députée européenne depuis 2009 pour le groupe confédéral de la Gauche unitaire européenne, elle est membre de la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures ainsi que de la sous commission « droits de l »homme »et de la délégation pour les relations avec le parlement panafricain.

Diplomée de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Pauline Delage est chercheuse auCNRS. Elle a orienté ses recherches vers les questions de violences liées au genre ainsi qu’à d’autres formes de discriminations telles que le racisme. Ces essais abordent quasiment tous les domaines liées aux violences à l’encontre des femmes, telles que le viol, les violences conjugales et les féminicides.
Féministe engagée, elle est co-fondatrice et co-animatrice du réseau VisaGe-analyse des violences fondées sur le genre, données, santé et jeux d’échelles. Elles est également membre du comité de rédaction des revues « Genre, sexualité et société » et « Mouvements ». Elle a dirigé ou collaboré à de nombreuses publications qui nourrissent la réflexion sur l’évolution des mouvements de lutte contre les violences de genre et pour l’égalité.